Texte | Annie Côté Photo | Thaís Silva Ma langue morte se vipérise au nom des femmes et pour enfin déscléroser mon cœur. Près d’ici, peut-être dans la maison voisine, il y a une femme qui normalise de petits et grands manques d’amour quotidiens. Près d’ici, peut-être dans la rue …
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