par Busque
Cette édition parle de nouveaux projets ; d’entreprises émergentes qui veulent transformer le mode d’emploi de la gestion, d’initiatives citoyennes à leurs balbutiements. Ironiquement, je mets La Rumeur du Loup en vente. Nous y reviendrons plus tard. Si vous souhaitez acheter, vous pouvez me contacter sans problème.
Donc, je crois que les projets sont circulaires. Ils naissent et meurent laissant derrière eux des humains grandis. La Rumeur a toujours eu comme mandat, entre autres, d’aider les nouveaux projets, question de donner un coup de pouce pour un envol : le Défi Everest, le Loup de Cambronne, Jeun’Avis, les Eurochestries, le festival Vues dans la tête de…, etc.
« On critique facilement ces femmes et ces hommes qui tentent de briser le quotidien, de rendre la routine moins monotone. »
On critique facilement ces femmes et ces hommes qui tentent de briser le quotidien, de rendre la routine moins monotone. C’est normal qu’au début, il y ait de petits et moyens ajustements et c’est aussi normal de se planter parfois. Soyez indulgent. J’ai moi-même lancé quelques trucs qui se sont écrasés (souvent avec grâce) et je n’ai aucune honte de cela : Chez Pablo, Écarlate, la Meute, Cado Loco et autres projets plus obscurs, comme les soirées du Futur, les soirées de lectures d’enfance, ou le fameux tournoi international de toc de Rivière-du-Loup. Pour moi, tout cela est sain. C’est éphémère. C’est cyclique. Pour ce qui est de mon expérience, j’ai toujours eu un problème à organiser un évènement dans le but de « faire la piasse » et c’est surement pourquoi j’ai arrêté d’en organiser. Dans ce système où tout a un prix, il faut sans cesse jouer avec les règles obligatoires d’un jeu établi. Non merci. Pour chaque projet décrit dans cette édition, 10 autres existent ou s’en viennent. Gardez l’oeil ouvert et les oreilles tendues (et, le plus important, l’esprit ouvert). Allez voir le nouveau site de Visages régionaux qui sera en ligne en septembre pour en apprendre plus sur une foule d’initiatives !