Quand Marcel te parle, t’es le meilleur au monde.
Ton idée est bonne, t’as donc ben raison, ton chapeau te va bien.
T’es le plus beau, la plus belle, le plus fin.
Quand Marcel te parle, t’es le meilleur au monde.
Et pis c’est LUI qui te dit merci. Mille fois, d’ailleurs.
Marcel est accueillant. Et généreux.
Si t’as pas mangé, tu repars avec des croissants.
Tu voudrais les payer, mais non. Pas question.
« Fais-toi plaisir », qu’il va te dire.
Le p’tit Marcel donne son coeur à tous ceux
qui en veulent un petit bout.
Une « cocolle », pis une deuxième.
Pis « comment tu vas ? », puis « raconte-moi ça ».
Imagines-tu le grand coeur là-dedans ?
Parce qu’il donne des morceaux depuis longtemps.
T’as construit quelque chose, mon ami.
T’as fait du beau. Pis du bien.
Je me demande si t’avais une idée à quel point.
Alors moi je vais faire mon Marcel, et pis prendre soin des gens.
Je vais essayer de faire du beau pis du bien, comme le grand
Marcel.
Et pis Marcel, repose-toi bien. Tu le mérites.
Merci à toi.
T’es le meilleur.
Sylvain Arel