texte Marie-Charlotte Van Vaeck | Journaliste à L’INNÉ-Dit
La décroissance, c’est quoi pour moi ? Je ne me suis jamais vraiment posé la question. Mais aujourd’hui, j’ai tout compris. La Terre nous a tout donné ce qu’elle possède, mais nous ne lui avons jamais dit un simple merci. Nous la condamnons plutôt à la pollution, à sa mort. Un jour, elle va disparaître et c’est seulement là que les humains vont se poser la question la plus importante. Lisez mon petit poème et, si vous ne réagissez pas, c’est que vous ne savez pas ce que veulent dire les mots « reconnaissance » et « décroissance », qui permettent de changer nos habitudes pour préserver nos richesses.
Parfois, les gens oublient la nature
Oublient que c’est grâce à elle qu’on est ici aujourd’hui
Elle est une richesse pure
Que personne ne peut remplacer par l’économie
C’est dur de faire changer la mentalité des gens
Mais nous devons changer ce monde
Les ressources sont en voie d’épuisement
Et les glaciers du nord fondent
Vivre en préservant nos ressources
Et selon nos besoins réels
Nous devrions le faire tous
À la Terre, ne lui arrachons pas ses ailes
Si je vous parle de développement durable
De simplicité volontaire
Seriez-vous capable
De changer pour aider la Terre ?
Consommez de façon responsable
Pour réduire et contrôler l’activité économique
Pensez à ce que vous mettez sur votre table
Afin de réduire votre empreinte écologique
Réparer, réutiliser et recycler
Cela vous dit quelque chose ?
Échanger, donner
Ce sont des actions qu’on vous propose
Diminuez la production de biens
Cela vous offre une bien meilleure qualité de vie
Achetez seulement ce dont vous avez besoin
Et vous ferez de la Terre votre amie
Vous n’avez pas besoin d’une voiture
Pour traverser toute la ville
Tous les gens qui la prennent n’ont pas d’allure
Utilisez vos jambes et vous serez en plein dans le mille
Quand je regarde l’eau
Elle est si fébrile
Cette pollution, vous l’avez dans la peau
Ne jetez pas tout dans le Nil
Si vous n’avez toujours pas compris
Je ne sais plus quoi faire
Arrêtez de lui faire payer le prix
Elle ne vous a rien fait, la Terre !
Voilà, je n’ai plus rien à ajouter. Seulement, réfléchissez parce que ce n’est pas seulement la Terre que vous condamnez. Il s’agit de millions de vies, dont la vôtre.
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