Parole d’Étienne Lajoie Asselin | photo Axel Martin
[Couplets 1, 2, 3 et 4]Assis tout seul au bar
J’te cherche pis j’perds le nord
La neige est folle dehors
Viens-tu, pour savoir ?
Je tente d’oublier mon vice
Y passe des tounes des années deux-mille-dix
J’comprends pas ce qu’ils me veulent
Mais j’capable de danser tout seul
Je sais qu’c’est pas de mes affaires
Mais si j’peux me permettre d’être sincère
J’aspire à c’que tu viennes chez moi
Pour passer la nuit entre tes bras
Prendre le même air que tu respires
Prendre tous les pas que l’on désire
Mais pète pas ma bulle tout de suite
Pour ensuite reprendre la fuite
Mais c’est compliqué
De t’enlever de mes pensées
La genèse de mes sentiers
De la frénésie déchaînée
Me décomposer
Pour pouvoir y arriver
Mais on est des ados perdus
Dont le rêve est défendu
Le désir et l’ardeur me frôlent
J’ai pas beaucoup de self-control
J’devrais mettre mon doute en taule
Te dis-je ma tête sur ton épaule
Avant que je revienne à moi
J’ai besoin d’partir avec toi
La rationalité m’appelle
C’est unidirectionnel
Pis c’est compliqué
De t’enlever de mes pensées
La genèse de mes sentiers
De la frénésie déchaînée
Me recomposer
Pour pouvoir t’oublier
Parce qu’on est des ados perdus
Dont le rêve est défendu
Parce qu’on est des ados perdus
Dont le rêve est défendu
